lundi, juillet 21, 2014

France, French and Reforms... One of these do not apply

Bonjour, j'ai lu en Juillet un article sur le Nouvel Économiste qui parlait des difficultés de la France à se réformer.  L'article ne répond pas à la question sous-jacente et qui est le parfait reflet de la France d'aujourd'hui: celle qui ne répond pas aux vraies questions. Quand Mr Sarkozy est arrivé au pouvoir je pensais qu'il allait jouer le rôle du jeune politique dynamique donnant un coup de pied dans la fourmilière. Déception devant son populisme peureux. Mr Hollande est encore plus populiste puisque de fibre mittérandienne (que je considère comme l'empereur des populistes). Nos politiques sont plus préoccupés par leurs résultats de campagne que par le développement économique de la France. Vu l'état de notre pays aujourd'hui les mesures pour le redresser vont être très impopulaires mais un politiciens devrait savoir que sa vocation est de voir au delà du mécontentement immédiatiste du peuple (ce qui se définit dans une ligne très fine entre démocratie et autocratie). Les propositions mettront fin au rêve ludique des français qui sont devenu trop paresseux et pensent que tout ce brouhaha international ne les concernent pas. Ils se fustigent de voir les chinois racheter en masse leur Art, vider le notre (dans la foulée) ou encore acheter notre vin en masse ou un village entier dans le Vercors. Ils n'aiment encore moins les investisseurs qui réussissent (pourtant moteurs du pays). 
Une question me vient à l'esprit: pourquoi envie-t-on plus facilement le petit patron que le grand? Les français ont tendance à aimer voir les "patrons payer" surtout ceux des petites PME, les plus fragiles. À première vue envier un patron de petite PME n'est pas tant sexy que d'envier Bill Gates ou feu Steve Jobs. Pourtant les deux dernier ont un train de vie beaucoup plus digne de Richard Gere dans "pretty woman" que le premier. Voici quelle peux être la raison: C'est plus simple d'envier quelqu'un un tout petit peu au dessus de toi, que tu vois tous les jours et avec qui tu arrives à te mesurer parce que les paramètres ne sont pas trop différent, ni les racines sociales. Maintenant quelqu'un qui est vraiment très au dessus de toi ou qui n'a pas eu la même éducation, pas fréquenté les mêmes lieux et qui a tendance à vouloir se cacher tu ne peux pas trop l'envier parce que tu ne le vois pas et en plus tu ne comprends pas vraiment ce par quoi il passe. Enfin les sommes en jeu sont tellement faramineuses parfois que tu ne vois même pas l'utilité de la dépense. Donc il est plus simple d'envier son patron dans une entreprise de 50 personnes que 50000.

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