Suite de mon post il y a quelques mois sur les acrobaties bancaires et, en fait, comment les banques passent d'une position de conseil à l'investissement à une position de vampire nosferatusien version médievale, fer rouillé et gros qui tache. Je me visualise bien là Ving Rhames - Marcellus Wallace - qui fait sa tirade après avoir shooté les intimités de Zed!!
"I'ma call a couple of hard, pipe-hittin' niggas to go to work on homes here with a pair of pliers and a blowtorch. You hear me talkin' hillbilly boy? I ain't through with you by damn sight. I'ma get medieval on your ass.". Tout ça pour montrer que visiblement il y a une certaine distorsion entre notre vision de ce qui se passe dans une banque et la propre vision de la banque. Sporadiquement cela fait surface quand l'un des employé vu comme une "high liability" nous pète un coup de trafalgar et, comme les anglais ont cette expression très... visuelle et parfumée..."shit hit the fan" et les plus faibles puent parce qu'ils ont pas le parapluie (enfin ça c'est toute l'histoire de l'humanité résumée). Ce qui me pousse à écrire cette aprem de très basse inspiration laborale est ce texte qui a été twité par un ami Vahid c'est ce titre du NYTimes qui est interpelant parce que redondant. Redondant pour Goldman (Fabulous Fab, God's Work, Manipulation et d'autre) on en ferait un livre juste avec tout ce qu'ils sont capables de faire, mais redondant aussi pour l'industrie. La ligne de pensée m'amène vers un des coins de la pièce qui est la taille de ces entreprises, tellement importante qu'elle se comparent aux États et donc très sensiblement négocient avec eux, ont des analystes plus compétents (payent mieux) et du coup peuvent manipuler plus facilenment. Lois, finances et marchés sont les cibles et comme une fois que la loi est passé c'est irréversible tu as ton terrain de jeux juste pour toi... Bon aller je dois justifier mon salaire moi!
"I'ma call a couple of hard, pipe-hittin' niggas to go to work on homes here with a pair of pliers and a blowtorch. You hear me talkin' hillbilly boy? I ain't through with you by damn sight. I'ma get medieval on your ass.". Tout ça pour montrer que visiblement il y a une certaine distorsion entre notre vision de ce qui se passe dans une banque et la propre vision de la banque. Sporadiquement cela fait surface quand l'un des employé vu comme une "high liability" nous pète un coup de trafalgar et, comme les anglais ont cette expression très... visuelle et parfumée..."shit hit the fan" et les plus faibles puent parce qu'ils ont pas le parapluie (enfin ça c'est toute l'histoire de l'humanité résumée). Ce qui me pousse à écrire cette aprem de très basse inspiration laborale est ce texte qui a été twité par un ami Vahid c'est ce titre du NYTimes qui est interpelant parce que redondant. Redondant pour Goldman (Fabulous Fab, God's Work, Manipulation et d'autre) on en ferait un livre juste avec tout ce qu'ils sont capables de faire, mais redondant aussi pour l'industrie. La ligne de pensée m'amène vers un des coins de la pièce qui est la taille de ces entreprises, tellement importante qu'elle se comparent aux États et donc très sensiblement négocient avec eux, ont des analystes plus compétents (payent mieux) et du coup peuvent manipuler plus facilenment. Lois, finances et marchés sont les cibles et comme une fois que la loi est passé c'est irréversible tu as ton terrain de jeux juste pour toi... Bon aller je dois justifier mon salaire moi!
